24 juin 2009
Les enfants de Dieu
Mon Dieu, que de silence imposé
A lire et lire encore l'amour,
Dans le fond de ma gorge nouée,
Coeur ouvert en souffrance au grand jour.
Face à l'éternité, nous, perdus,
Recherchant les mots qui apaiseraient,
Trouver un sens au ciel inconnu
Y porter la mémoire à jamais.
J'aurais voulu garder mon silence
Mais je ne peux que laisser jaillir
Des larmes coulant sur la conscience
Pour mieux aimer l'air que je respire.
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